Tout est dans le titre
........."Ils se coupent de leur corps, de leur affect, de leur pensée. Le déni d'eux-mêmes les déconnectent du sensoriel et du psychisme", explique lle Dr Jean Furtos, psychiatre, chef de service à l'Hôpital du Vinatier (Lyon). Paradoxalement, ces survivants se trouvent plus marginalisés encore, depuis que l'actualité se focalise sur le problème criant des "mal logés". Parce qu'ils ne demandent rien. "Invisibles" et "inaudibles" pour la société...............
http://www.20minutes.fr/article/283574/France-La-souffrance-insensee-des-naufrages-de-la-rue.php
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